Illustration, Nathalie Alibert

mémoire de diplôme : État vivant : histoire d’une relation sensorielle entre une espèce et son milieu

Par
Direction : Fabrice PINCIN

"La manière dont les villes ‘modernes’ se constituent et se matérialisent met en lumière une rupture avec notre « monde propre » et par là même, avec ce que nous sommes en tant qu'être et en tant qu'espèce. La sensorialité des espaces urbains n’évoque ainsi que très peu le tissu vivant consubstantiel à l’espèce humaine. Ces environnements dissociés, semblent ne plus être pensés par des vivants, pour des vivants. Si un organisme façonne son environnement autant qu'il est façonné par lui, alors que dit la ville de nous ? 

En explorant la relation que l'individu/l’espèce entretient avec son environnement, ce mémoire interroge les limites de l’évolution d’une espèce vivante dans un espace inorganique et met en lumière les aspérités invisibles de la matérialité urbaines pouvant être révélées en vue d’amener l’individu à se sentir davantage connectés à son environnement."

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